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Le jeune-homme disant que sa “petite amie” s’est échappée avec tous ses papiers se trouve entre les mains la police

Peterson Theofin est entre les mains de la police pour donner plus de détails sur les accusations qu’il a portées contre la femme qu’il dit être sa “petite amie”

Après que Peterson Théofin ait accusé une femme qui disait qu’il était en couple avec lui depuis 2 ans et qu’il s’enfuirait avec des documents de voyage et tout son argent, la demoiselle a dû atterrir sur la radio antillaise où il a démenti ces propos. La dame a dit qu’elle était prête à aller au tribunal avec le jeune homme pour les accusations. La police doit fermer l’affaire et accompagner les hommes et les femmes à la DCPJ.

Après l’éclatement de l’affaire jeudi matin, les 2 concernés étaient bouche bée sur la Radiotélévision Radio Caraïbes (RTVC), aux premières heures de vendredi, où l’un accusait l’autre. La demoiselle, de son vrai nom Ifemi Saint Hilaire, rejette les accusations de Théofin. Il déclare qu’il est sale et qu’il souille son image pour toujours.

“Je suis prêt à aller n’importe où pour y arriver avec lui, ne le laissez pas rapporter mon image”, a déclaré Ifemi en appelant Peterson, dont le surnom est Johny, un menteur.

“C’est un menteur”, a ajouté Ifemi au micro de la RTVC les larmes aux yeux alors qu’il allait rencontrer des policiers qui se déplaçaient pour déterrer des ossements à Calalou.

“Je n’étais pas à l’hôtel avec lui”, a déclaré Ifemi en informant que c’était l’hôpital de Mirbalais ce jour-là, où elle s’est rendue pour une échographie, car elle est enceinte de 5 mois.

De son côté, Peterson Theofin a déclaré avoir passé la nuit avec la dame mercredi soir à l’hôtel La Family où il a dit que la jeune femme était partie avec tous ses documents de voyage.

Sur Internet, de nombreuses personnes qui ont déjà demandé de l’aide pour Peterson, disent ne pas comprendre le dossier à cause des nombreuses incohérences du génome. Certaines personnes croient que ce serait une personne malade.  Pour l’instant, les deux personnes sont entre les mains de la police.

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