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Réouverture des écoles dans une impasse majeure du Sud

Jusqu’à présent, les autorités au sommet du pays n’ont jamais rien dit sur les activités scolaires qui ne peuvent pas reprendre dans le pays, malgré de nombreuses voix qui ne cessent de dire que les écoles ne peuvent pas rester à huis clos dans le pays.

Malgré toutes les réunions responsables à la direction de l’éducation nationale du sud au cours des dernières semaines pour voir si les enfants pouvaient reprendre le parcours scolaire le 7 novembre dernier, mais cela n’a pas abouti.

Tout le monde pouvait voir que les portes de l’école étaient toujours fermées parce que les parents n’envoyaient pas leurs enfants à l’école.

Le co-donateur de REFERENCE, un syndicat d’enseignants, le professeur Odnor Telusma, a déclaré que même si tous les secteurs sont mobilisés, si les autorités de l’État ne font rien, l’école ne pourra pas ouvrir. Le professeur Telusma a dit qu’en tant que chef d’un syndicat, ils ont de nombreuses réunions avec les enseignants et même avec les directeurs d’école pour voir si

Les activités scolaires pourraient reprendre, mais tous les scénarios montent et rien ne peut fonctionner. Le professeur Jn Desirdieu Arichema, qui a environ 40 ans d’enseignement, espère que des mesures seront prises pour permettre la reprise des activités scolaires à l’intérieur du pays. « C’est l’école qui nous a mis ici aujourd’hui, les enfants ne méritent pas ça », a déclaré le professeur Arichema. Il a demandé au Premier ministre et à tous les gouvernements de lutter contre le phénomène de l’insécurité et même de repenser le prix du gazles pompes.

Source: https://bit.ly/3WNRllX

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