Sur les 14 millions de personnes signalées ayant traversé illégalement la frontière, sous l’administration Biden-Harris, près de 2,5 millions sont originaires de quatre pays Cuba, Haïti, Nicaragua et Venezuela, dont les citoyens ont bénéficié d’une entrée élargie légale grâce à un programme de séjour conditionnelle créé par le secrétaire du département américain de la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas.
Sous l’administration Biden-Harris, le plus grand nombre de franchissements illégaux de la frontière dans l’histoire des États-Unis, reviens aux haïtiens avec près de 700,000 cas. Le plus grand nombre a été signalé au cours de l’exercice fiscal 2024, soit 220,798, suivi de 163,781 en 2023, de 56,596 en 2022 et 47,478 au cours des 9 mois de l’exercice 2021. Les données représentent les années fiscales 2021-2024, à l’exclusion des trois premiers mois de l’exercice 2021 sous l’administration précédente. L’exercice fiscal fédéral s’étend du 1er octobre au 30 septembre.
Par ailleurs, au moins 211,000 haïtiens ont été admis légalement aux États-Unis grâce au Programme de séjour conditionnel (Biden).